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Comme il est difficile [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] d' que Nicolas Sarkozy soit resté insensible aux premières lignes de La Chartreuse - "Le 15 mai 1796, le général Bonaparte fit son entrée dans Milan à la tête de cette jeune qui venait de le pont de Lodi, et d' au monde qu'après tant de siècles César et Alexandre avaient un successeur" -, on se [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] perd en conjectures : est-ce le personnage de Fabrice, le roman lui-même ou bien son contenu qui hérissent à ce point [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] le poil présidentiel ?
A bien y , cette aversion du président de la République pour Fabrice est difficilement compréhensible. [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] Le bell?tre, nous dit le dictionnaire Robert, est "un [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] homme dont la beauté s'accompagne de fatuité, de prétention à séduire". Ce qui, convenons-en, ne correspond pas tout à fait [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] au jeune premier [url=http://bbs.by818.com/forum.php?mod=viewthread&tid=38326]barbour sale Florilège anti- mariage gay[/url] "intrépide et passionné dans ses plaisirs" décrit dans le roman. Cela dit, Stendhal ne [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] doit pas s'inquiéter, lui qui dut plus de dix mois après la publication de La Chartreuse pour que quelqu'un daigne y une critique. L'attente ne fut, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] il est vrai, pas vaine puisque c'est Balzac lui-même qui prit la plume dans La Revue de Paris en septembre 1840 : "M. Beyle a fait un livre où le sublime éclate de chapitre en chapitre." L'auteur de La Comédie humaine en profitait pour dénoncer "cette quête [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] de louanges et d'articles à [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] laquelle se livrent les auteurs modernes. C'est la mendicité, le paupérisme de l'esprit. Il n'y a pas de chefs-d'oeuvre tombés dans l'oubli. [url=http://www.jjsyz.com/guestbook.asp]giuseppe z[/url] Les mensonges, les complaisances de plume ne peuvent la vie à un méchant livre".
Un siècle [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi]hollister outlet sale La cris[/url] plus tard, en 1940, Sartre, à son tour, encensa La Chartreuse : "Le naturel, le charme, la vivacité d'imagination de Stendhal ne peuvent être égalés." Et d', à propos de Fabrice : "Même dans ses pires [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] désespoirs, il est pour son lecteur une source perpétuelle de bonheur. Il tient sur ses pieds, il est viable, il n'y a chez lui aucune désintégration." Peut-être, après tout, est-ce dans cette direction, dans une sorte de jalousie non dite, qu'il faut la raison de cette curieuse détestation présidentielle ?

, et , aurait confié à ses invités qu'il détestait Fabrice Del Dongo. "Un bell?tre !", aurait ajouté le chef de l'Etat à propos du héros de La Chartreuse de Parme. Révélé au détour d'un article de Rapha?lle Bacqué dans Le Monde du 26 mars, ce propos n'a pas été, depuis, démenti par l'Elysée.
Rappelons tout de même qu'Italo Calvino a écrit à propos de La Chartreuse : "Le plus beau roman du monde ne peut être que celui-ci." Un point de vue que partage mot pour mot Philippe Sollers, qui vient d'écrire [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] un bel hommage à Stendhal, intitulé Trésor d'amour (Gallimard, 224 p., 17,90 euros).