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Un budget de 100 000 euros, [url=http://s-59206.gotocdn.com/UcenterHome/space.php?uid=649&do=blog&id=748562]hollister Allô, la smart classe[/url] pour mille élèves, a permis d'acquérir une machine pour automatiquement et rapidement les QCM et de rémunérer [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] les enseignants pour les heures passées en entretien.
Pour sur cette dynamique, David Cayla a eu l'idée de passer aux nouveaux arrivants un questionnaire à choix multiple (QCM) de 80 questions portant sur le fran?ais, la culture générale, les et la logique. Epreuve suivie d'un entretien individualisé. "Chaque étudiant rencontrait un professeur pour en les enseignements, repérer ses lacunes, le point mais aussi que l'université a un niveau d'exigence, car certains élèves imaginent à tort que "la fac, c'est facile"", estime .
L'action a porté ses fruits : le nombre de "décrocheurs", c'est-à-dire d'élèves qui ne prennent même pas la peine de se présenter aux examens, persuadés de les , a chuté de dix points, passant de 29 % à 19 %. Et les résultats sont en nette progression, puisque 4 % d'étudiants atteignent une note finale moyenne supérieure [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=110854464629]moncler outlet Lépidémie de s[/url] à [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister uk[/url] 14/20, alors qu'ils n'étaient que [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] 2,5 % en 2011. Mais, surtout, 32,5 % d'entre eux ont la moyenne, contre 26,5 % l'an passé.
A propos des titulaires d'un bac technologique et [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] professionnel, "aucune action du PRL ne peut être mise en évidence. (...) En revanche, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] les bacheliers scientifiques semblent en un peu plus de profit. (...) Ces dispositifs ne peuvent les effets du passé scolaire des étudiants, facteur le plus important d'explication de leur réussite", conclut l'étude.
L'étude menée à l'université de par Sophie Morlaix et Cathy Perret, spécialistes des de l'éducation, est d'une tout autre ampleur. Elle porte sur près de 10 000 [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] étudiants de première année, de 14 filières de 2005-2006 à 2010-2011, soit trois ans avant et trois ans après l'application du plan Réussite en licence.
Ces tête-à-tête ont été très appréciés des étudiants, surpris de l'intérêt qu'on leur portait, comme des enseignants, qui ont ainsi découvert le bon niveau relatif de leurs troupes : 11 de moyenne. "Nous avons, en effet, de très bons élèves, avec plus de mention au bac que dans les classes préparatoires", se félicite M. Cayla.
, les universités d'Angers et de Dijon ont testé divers remèdes pour l'échec aux examens. Toutes deux arrivent à la conclusion qu'il suffit parfois d'un peu d'attention.
A Angers comme à Dijon, un des facteurs-clés de la réussite en licence reste donc la relation incarnée entre l'étudiant et ses professeurs.
Les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] étudiants ont également été incités à une feuille de présence lors des travaux dirigés comme des cours magistraux. Et ce, bien que leur présence n'y soit pas obligatoire. Les conclusions sont très nettes : l'assiduité aux cours améliore la moyenne et plus de deux [url=http://www5d.biglobe.ne.jp/~white-00/yybbs/yybbs.cgi]louboutin pas cher Hacker vai[/url] absences la font . Ainsi, les 22 [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] étudiants assidus à 100 % ont obtenu une note moyenne de 10,5/20, quand ceux qui ont loupé deux cours et plus n'atteignaient que 7,1/20. Une seule absence n'a, en revanche, pas d'incidence. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Difficile cependant de généraliser ces résultats car ils ne portent que sur 150 étudiants, et sur un seul semestre.
Il s'agissait notamment d'améliorer l'accueil et le suivi pédagogique, d' la méthodologie du travail universitaire, d' diverses innovations pédagogiques et de réorienter les étudiants en échec.
Ces chercheuses ont tenté de l'efficacité des mesures mises en oeuvre, en comparant les résultats des élèves avant et après l'application du plan. Et leurs conclusions surprennent, car elles ne constatent pas une amélioration significative, voire déplorent des reculs : "La multiplication des actions au sein d'une même formation ne se révèle pas une stratégie payante pour améliorer la réussite des étudiants. (...) Les effets du plan Réussite en licence [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] s'avèrent limités", assurent-elles. "Les actions d'accueil et de suivi pédagogique renforcé, avec des soutiens, semblent plus [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] efficaces que l'enseignement des méthodes de travail, car elles permettent de réduire l'abandon des bacheliers issus des séries ES et diminuent les risques d'échec de ceux issus des séries L", rassurent-elles.
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Niveau d'exigence
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L'UFR d'éco-gestion de l'université d'Angers a commencé par s' sur son taux de réussite en fin de première année : 40 %. "Certains collègues me disaient que le niveau des étudiants était en baisse. Mais en étions-nous si s?rs ?", s'est demandé David Cayla, responsable de première année de licence éco-gestion. "Dans le cadre du plan Réussite en licence, nous avons mis en place dès 2009 des travaux dirigés, du tutorat, des cours de soutien en langues. Le taux de réussite a [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] monté", raconte Michèle Favreau, doyenne de la faculté de droit, d'économie et de gestion.