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La , principale visée, s'est défendue d' pratiqué l'obstruction. [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] Mais au plus fort de la passe d'armes entre Etats industrialisés et pays en développement, près d'une trentaine de ces derniers ont serré les rangs derrière le représentant de Pékin. Parmi eux, l', les , l', l', quelques pays africains mais aussi l'.
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Le communiqué final de la secrétaire exécutive de la Convention, , saluant le "travail productif" accompli à Bonn, aura du mal à illusion face à l'avalanche de déclarations amères. A par celle de l'. "Il est très regrettable de que les tentatives de quelques pays de en cause les avancées de Durban nous font du temps. Pendant ces deux semaines, il n'a été question que de procédures et pas [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de substance", a-t-elle déploré.
Ces chiffres traduisent très concrètement ce que signifie, pour les pays du Sud, le droit au développement, qui va de pair, jusqu'à présent, avec une utilisation croissante des énergies fossiles.
un niveau sans précédent, selon les chiffres provisoires de l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Piètre record publié alors qu'à Bonn, en , s'achevaient dans la déception, vendredi 25 mai, deux semaines de négociations censées sur les rails l'accord signé à Durban () en décembre 2011 par les 195 pays membres de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques (Cnucc).
La définition d'un partage équitable des efforts appara?t plus que jamais comme [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] une des conditions incontournables de l'avancée des négociations. A Bonn, une journée entière a été consacrée à un débat sur "un accès équitable à un ". Si la Convention climat pose le principe [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] de "responsabilité commune mais différenciée" entre les pays et réaffirme le droit de chacun à se développer, il n'existe pas, comme l'a rappelé Christiana Figueres, de définition qui satisfasse [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] tout le monde.
Les affrontements se sont avant tout cristallisés sur la définition d'un "agenda" devant , d'ici à 2015, à la signature d'un nouvel accord global sur le engageant, sur une base [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] légalement contraignante, tous les pays à leur part d'effort pour le réchauffement à 2 oC. Cet ordre du jour en apparence peu ambitieux comporte en réalité de véritables enjeux. De l'aveu même d'un vétéran de la Convention, il est assez facile, "selon la fa?on dont on organise les discussions, d'écarter un sujet dont on n'a pas très envie de parler". Or, pour les pays en développement, qui [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] jusqu'à présent n'étaient tenus à aucun effort, la "plate-forme de Durban", qui constituera le futur cadre de négociations, s'apparente à un grand saut dans l'inconnu.
"Les Etats-Unis sont sortis de la pauvreté gr?ce aux énergies fossiles. Un Américain moyen disposait d'un [url=http://www.wn88.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=345694]louboutin Propriétaires et locataires, comment améliorer votre situation - L[/url] revenu de 5 000 dollars en 1890 ! Celui dont disposera, peut-être, un Indien en 2025, quand son pays devra rapidement dans une économie décarbonée. La voie qui a conduit les pays riches à la prospérité n'est plus disponible", a rappelé M. Kartha à Bonn. Un rappel qui permet de les tensions qui dominent ces chaotiques négociations. Elles se poursuivront en décembre au , le "champion" du monde d'émissions de CO2 par habitant.
Ainsi en supposant que la Chine cesse d'émettre davantage de gaz [url=http://www.themasterscanvas.net/activity/p/148421/]barbour outlet Vendée Globe le podium senvole pour Jean-Pierre Dick[/url] à effet de serre d'ici à 2025, il montre, en s'appuyant sur les données de la Banque mondiale, que le revenu moyen d'un Chinois au moment du "pic" serait de 12 000 dollars par an environ, contre 42 000 dollars pour un Américain et de 30 000 dollars pour les Européens (en supposant que ces pays aient figé le compteur de leurs émissions). Dans le cas de l', ce revenu [url=http://www.my5632.com/forum.php?mod=viewthread&tid=939161&pid=1073813&page=1&extra=page=1#pid1073813]www.vivid-host.com/barbour.htm LAustralie souvre a[/url] annuel serait de 6 000 dollars. Pour l'Inde, de 5 000 et pour les pays les moins avancés, de seulement 2 000.
La répartition des efforts, si l'on veut le réchauffement en de?à de la limite des 2 oC, comme le recommande le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), doit cependant s' dans un cadre extrêmement contraint.
Depuis vingt ans en effet, il existe un mur étanche entre les pays industrialisés, qui, à travers le protocole de Kyoto - pour ceux qui l'ont ratifié -, doivent réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, et les autres. Tous les autres, y compris la Chine, qui est devenue le premier pollueur mondial devant les Etats-Unis. Au moment de cette page, les pays émergents et ceux qui, demain, aspirent à le , s'interrogent donc avec une certaine anxiété sur "le [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] partage du fardeau" vers lequel veulent les entra?ner les [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] pays industrialisés historiquement responsables du réchauffement.
Les statistiques publiées par l'AIE ont confirmé cette brutale réalité : "Pour 50 % de chance de le réchauffement à 2 oC, il faudrait la progression des [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] émissions de CO2 à 32,6 gigatonnes [Gt] au plus tard en 2017, soit juste 1 Gt au-dessus du niveau atteint en 2011." [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] Ce scénario suppose que les pays industrialisés devraient être en mesure dès maintenant d'infléchir la courbe de leurs émissions. Ce qui est loin d'être le cas.
Mais [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] le temps est aussi compté pour les pays plus pauvres. Physicien au Institute, s'est livré à un exercice éclairant sur ce que cela impliquerait pour quelques-uns d'entre eux.
D'où cette solution bancale trouvée à la dernière heure et signe de l'extrême méfiance qui règne entre les négociateurs : la "plate-forme de Durban" ne sera pas dirigée par un président mais par deux vice-présidents, issus d'un pays du Sud et d'un pays du Nord. L'Inde et la formeront le premier tandem.
La directrice générale a proposé de la réflexion en retenant trois principes : la responsabilité historique des pays et leur future contribution au réchauffement, les capacités des Etats à répondre au changement climatique et enfin, les circonstances particulières de certains pays comme les petits Etats insulaires hautement vulnérables aux conséquences de l'élévation des températures.
Le manque de visibilité sur le financement de l' à de 2013 alimente aussi les tensions. Le "Fonds vert" reste une coquille vide alors que 100 milliards de dollars (80 milliards d'euros) par an devront être mobilisés d'ici à 2020 en vertu des promesses faites à Copenhague en 2009.