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Pour l'h?tel-appartements , l'absence des touristes du Golfe, parmi les visiteurs les plus prisés au Liban pour leurs larges dépenses, est pesante : ils représentaient plus de 60 % de sa clientèle jusqu'en mai 2012. Depuis, ces ressortissants arabes boudent le Liban, suivant les injonctions répétées de leurs autorités de ne pas s'y . Entre janvier et mai, le tourisme a enregistré un recul de 12,5 % par rapport [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] à l'année précédente. La chute du nombre de visiteurs venus des Emirats a été de 76 [url=http://www.lnddsz.com.cn/old/index.asp]Attributes Of Delaware Valley Tech Support[/url] %, celle des Saoudiens de 54 %.
LE LIBAN, "UNE ?LE ENTRE ISRA?L ET LA "
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Même les établissements dont la clientèle du Golfe n'est pas le coeur de cible subissent le contrecoup : "Puisque les h?tels cinq étoiles ont baissé leurs prix, nous avons d? en autant en tant que structure quatre étoiles", explique Berthe Barakat-Maacaron, directrice du marketing à l'h?tel Warwick Palm Beach, enserré entre la corniche d'Ain El-Mreissé et le port de yachts de Zeitouna bordé par les [url=http://www.msc-sahc.org/moncler.asp]moncler pas cher[/url] restaurants. Un [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] secteur qui est aussi affecté, par effet boule de : "Avec l'absence des touristes, principalement arabes mais aussi occidentaux, les commerces sont vides, les restaurants [url=http://www.msc-sahc.org/moncler.asp]moncler doudoune[/url] fragilisés, les taxis déprimés", liste M. Ghobril.
A l'h?tel Arjaan Rotana, si l'on se félicite que le taux d'occupation reste plut?t bon, on constate une baisse du chiffre d'affaires de 10 % à 20 %. Car, si les ressortissants du Golfe sont friands de suites, comme le souligne la directrice , la clientèle actuelle (Irakiens, Jordaniens, Egyptiens, Syriens) se rabat sur des produits plus modestes. "Nous avons eu un pic de clients syriens à l'été 2012 . Maintenant, ceux qui viennent ne passent que quelques jours, pour ou un visa auprès des ambassades à Beyrouth", explique Mme Massaad.
Officiellement, c'est pour des raisons de sécurité que les monarchies pétrolières arabes interdisent la destination du Liban. Mais difficile de ne pas dans le renouvellement de cette mise au ban, début juin, une forme de pression sur Beyrouth : le Conseil de coopération du Golfe, dont plusieurs membres, tels le et l', financent l'armement de la rébellion syrienne, condamne l'implication militaire du Hezbollah aux c?tés du régime de .
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Cette baisse du tourisme n'a rien d'anecdotique : en cours depuis 2011, l'inflexion du marché se poursuit, alors que ce secteur constitue un [url=http://askdolukalpler.com/profile.php?uid=1]barbour uk outlet Right Networks C4 University - E[/url] segment important de l'économie libanaise. "Par son impact direct, il représente 9 % à 10 % du PIB, explique , économiste en chef à la . Mais si l'on prend en compte les activités indirectes, le tourisme pèse pour près d'un tiers de l'économie." Or les derniers mois, marqués par des tirs de [url=http://english365.org/viewthread.php?tid=38056&extra=]NFL Tickets How To Safely Use Your Electric Log Splitter[/url] roquettes, un attentat dans la banlieue sud de Beyrouth et des combats à Sa?da ou à Tripoli, ont été peu encourageants pour les éventuels visiteurs.
le souffle sur la Méditerranée et la célèbre grotte aux Pigeons – des ?lots de calcaire dans la mer que l'on vient en barque ou . En cette fin de matinée, il n'y a qu'un couple assis au café. Certes, les clients fuient la chaleur dans les espaces climatisés de l'h?tel ; le ramadan bouleverse les habitudes de . Mais surtout, le [url=http://www.hanesmorgan.com]hollister sale[/url] tourisme vit un nouvel été difficile à cause du conflit syrien et de l'instabilité [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] qu'il entra?ne au .
L'ENGAGEMENT DU HEZBOLLAH AUPR?S DE BACHAR AL-ASSAD SANCTIONN?
"L'indice de confiance des Libanais est à son plus bas niveau depuis 2007, affirme M. Ghobril, l'expert de Byblos Bank. On n'a pas de visibilité sur la fin de la crise syrienne." Dans le café du lobby de l'h?tel Arjaan Rotana, Mme Massaad veut pourtant au [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] "miracle libanais". "Les années 2005-2008 ont aussi été difficiles, à cause de l'instabilité, mais on a su . Il est vrai que la différence aujourd'hui, pour les touristes du Golfe ou d'ailleurs, est qu'ils craignent de ne pas quitter le pays en cas d'incident majeur, si ce n'est via . Le Liban est devenu une ?le", entre , avec qui il reste techniquement en état de belligérance, et la Syrie, déchirée par la guerre.
Le conflit syrien est-il le seul responsable des difficultés économiques ? Les [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] dirigeants politiques libanais n'y a-t-elle pas sa part ? "Elle n'a pas su l'impact de la crise syrienne. Et depuis 2008, elle a raté l'occasion de réformes qui auraient pu préserver l'économie libanaise en la rendant plus compétitive", conclut l'économiste.
De la populaire banlieue sud de Beyrouth au luxueux front de mer, c'est partout la même complainte : les affaires tournent au ralenti, d'autant que le d'achat des Libanais ne cesse de . "Depuis 2005, l'activité a commencé à décliner. Mais l'année 2013 est vraiment la pire", se désole Oualid Ghalayini, le directeur de Carrera, une agence de location de .
Pour beaucoup d'acteurs du tourisme, la formation d'un gouvernement, si elle n'est pas un gage d'embellie sécuritaire, serait au moins un pas vers plus de stabilité. Mais engagées début avril, les négociations piétinent. [url=http://www.eracorrect.com]mulberry outlet[/url] Certains croisent les doigts pour que les touristes [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] du Golfe affluent après l'A?d el-Fitr, la fête de [url=http://www.gotprintsigns.com/uggpascher/]bottes ugg pas cher[/url] fin du ramadan qui devrait être célébrée autour du 10 ao?t. "Tout ce qu'on peut espérer pour 2013, c'est que le nombre de [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] visiteurs libanais de la diaspora soit acceptable", tranche Nassib Ghobril.