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L'AMA joue un r?le cadre pour ce qui est du . Des initiatives existaient au niveau de certaines fédérations nationales, et l'AMA y réfléchit depuis 2002, dans la mesure où on sait qu'il [url=http://jcommunity.loginradius.com/forum/newtopic]hollister sale Sécurité de lart de fa onner lopinion publique[/url] y a un intérêt à de manière longitudinale les variables biologiques. Cette méthode existe en , on a simplement développé ?a dans le cadre de la lutte antidopage. Les JO d'hiver de Turin (2006) ont été un tournant, avec plusieurs cas d'athlètes qui avaient des variables anormalement élevées, sans qu'on sache si celles-ci étaient naturelles ou modifiées. L'AMA a alors re?u de la part des fédérations et des partenaires le mandat d' ces règles, et de créer un cadre d'application du passeport de l'athlète. Ce qui a été adopté début décembre dans le cadre du comité exécutif de l'AMA.
Au regard de la collaboration que nous avons avec la France et avec l'AFLD, ces petites divergences sont plut?t des aspérités plus que de véritables problèmes. Si les points de divergence avaient été si forts, on en serait pas où on en est aujourd'hui. Bien s?r il y a encore du travail, on parle beaucoup de localisation des athlètes, de protection des données, il y a des points tout à fait légitimes qui s'expriment de la part de tous nos partenaires et on trouve des solutions. Aujourd'hui, en l'espace de dix ans, même si c'est moins puisque les règles de l'AMA ne sont entrées en vigueur qu'au 1er janvier 2004, force est de que beaucoup a été accompli.
Quelles sont vos pistes de travail ?
Et il y a des substances ou des méthodes qui nous [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] résistent encore un peu. Ainsi il est compliqué de en place des méthodes efficaces et dissuasives avec tout ce qui est peptides et hormones, dont la composition est tout à fait similaire à celle qui est sécrétée par l'organisme. Il faut reconna?tre que ce sont des défis techniques de taille, pour lesquels on a des fenêtres de détection qui sont à notre avis encore un peu trop courtes. Pour ce qui est du , même si [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] l'AMA a fait des progrès [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] évidents, c'est aussi un domaine ou nous n'avons pas aujourd'hui la certitude que les tests existants résisteraient à un tribunal. Les défis sont grands, les progrès indéniables, mais la science avan?ant tous les jours, il y a forcément encore beaucoup à .
1998, l'Agence mondiale antidopage () vient de fêter ses dix ans d'existence. A l'époque, l'objectif était de le retard pris dans la lutte contre les pratiques dopantes, avec la fondation d'une agence indépendante réunissant à la même table représentants du mouvement sportif et des gouvernements. Depuis le siège de l'AMA à Montréal, son directeur scientifique, le docteur Olivier Rabin, revient sur le chemin parcouru, et surtout sur les défis qu'il reste à dans le combat contre le dopage dans le . En insistant sur le développement nécessaire de la collaboration avec l' pharmaceutique, mais aussi sur le suivi régulier des sportifs, avec la création d'un passeport de l'athlète estampillé AMA.
Dans les faits, ?a s'est toujours bien passé, les industriels contactés ont été très réactifs, en nous permettant de en place la détection de leur substance. C'est une coopération qui s'est très bien développée au cas par cas. Ce qui serait intéressant à l', et ce pour lequel nous travaillons maintenant, c'est la mise en place d'un accord plus général avec ces industriels.
L'exemple le plus classique, c'est [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] une première phase lors de laquelle on peut , au travers une lecture scientifique ou selon les contacts que nous avons, des substances en développement et qui sont dans un champ qui nous intéresse, comme tout ce qui permet d' la capacité de l'organisme à des globules rouges, ou à les fibres musculaires. On confronte ces données avec les banques [url=http://www.thisoldworkshop.com/index.php/forum/newtopic]peuterey outlet Le Brésil mise sur ses jeunes pousses[/url] de données auxquelles nous avons accès, qui sont déjà le résultat d'un travail avec l'industrie pharmaceutique, et ensuite on approche l'industriel, en lui expliquant les raisons de notre démarche afin [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] de en [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] place une collaboration.
L'AFLD est un partenaire solide et reconnu de la lutte antidopage, avec lequel on travaille très étroitement. Le laboratoire de Chatenay-Malabry a developpé une très grande expertise dans le domaine des EPO, des glucocortico?des et autres. Des désaccords existent parfois, mais c'est souvent lié aux différences entre une perception nationale et une perception internationale, au fait que la pratique médicale et scientifique peut selon les pays. L'avantage de la France, c'est son histoire et sa motivation dans la lutte antidopage.
C'est déjà activement en place, l'AMA a un de liaison auprès d'Interpol, qui a d'ailleurs été mis à disposition par le gouvernement fran?ais. L'objectif est de les informations, de celles de l'agence avec celles des services de police, à propos des prises de substances, des mises sur le marchés de nouveaux produits, de tout ce qui est trafic ou contrefa?on. De plus en plus de ponts sont également posés avec les des douanes, qui recueillent au cours de leurs saisies des informations qui nous intéressent.
Il y a également ce qu'on appelle les "designer drugs", des substances qui ont été con?ues ces dernières années uniquement à des fins de développement de la performance. On l'a vu par exemple avec l'affaire Balco.
Quel valeur peut ce passeport ?
Au delà de l'aspect scientifique, où en est la coopération avec les forces de ? Comment le contr?le policier vient-il en complément du contr?le médical ?
?a recouvre différentes choses, dont nous suivons les évolutions. Pour ce qui est des molécules de synthèse, érythropo?étine (), de nouveaux concepts sont en développement dans l'industrie pharmaceutique, avec des toutes petites molécules qui pourront être ingérées oralement, et qui auront le même effet. Le dopage sanguin c'est aussi un certain nombre de méthodes telles que les hémoglobines réticulées, telles que les transfusions sanguines sur lesquelles on a fait des progrès, la seule chose qui nous résiste encore un peu c'est les transfusions autologues : l'individu retire son propre sang, le stocke et au moment approprié se réadministre son propre sang. Il n'existe pas de méthode directe de détection, mais le passeport de l'athlète doit nous de ces pratiques là. On travaille pour en place des méthodes directes, même si aujourd'hui sur la base des méthodes indirectes il y a possibilité de sanction.
Quelle relation entretient l'AMA avec l'Agence fran?aise de lutte contre le dopage () ?
Les défis sont nombreux. Par exemple, en ce qui concerne l'ensemble des substances qui auront des potentiels dopants et qui sont actuellement développés par l'industrie pharmaceutique. On a rencontré un certain nombre de succès à ce niveau, avec des détections précoces de substances. On en rencontrera d'autres puisqu'on travaille relativement étroitement avec ces s, mais notre objectif est d' [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] un accord cadre avec l'ensemble de l'industrie pharmaceutique et des biotechnologies. De telle fa?on à ce qu'ils soient eux-mêmes en mesure de détecter le [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] potentiel dopant de leurs propres molécules, puisqu'ils ont ces informations souvent plusieurs années avant que ces molécules n'arrivent sur le marché. Voilà certainement un des grands chantiers à .
Aujourd'hui la lutte antidopage est très loin de ce qui se faisait il y a quelques années, lorsqu'on se limitait à des d'urine sur une approche purement toxicologique. Le r?le essentiel de l'AMA a été d'élargir le spectre de la lutte antidopage : une composante analytique, un r?le de relation avec les forces de police au niveau international, un r?le d'éducation aussi, de sensibilisation des athlètes, toutes ces activités sont menées en parallèle.
Les divergences portent essentiellement sur des différences d'appréciation sur des substances, et sur la place que celles-ci devraient dans la lutte antidopage, par exemple sur les . Au même que d'autres pays ne sont pas toujours d'accord avec l'AMA sur la question des . La France est, avec quelques autres pays européens, un pays qui fonctionne très naturellement avec le principe de précaution. Un principe qui est beaucoup moins évident pour les pays anglo-saxons, où il faut un certain nombre d'éléments avérés avant de des substances. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Ces différences culturelles se retrouvent lorsqu'il s'agit d'établir des règles internationales. La France, et elle n'est pas isolée, est parfois plus conservatrice.
Qu'en est-il du ?
"UN R?LE CADRE DANS LE CAS DU PASSEPORT DE L'ATHL?TE"
Est-ce que partagez le point de vue de Jacques Rogge, président du Comité olympique, qui estime que "l'AMA a plus que dépassé les espérances placées en elle" ?
"?LARGIR LE SPECTRE DE LA LUTTE ANTIDOPAGE"
Il sert à deux choses : des athlètes qui ont des profils anormaux, pour la à risque, et si les variations sont considérées comme suffisamment fortes, développer un mécanisme pour réviser les données de l'athlètes gr?ce à un panel d'experts. Et ensuite déterminer si ces variations sont liées à une pratique dopante ou si elles sont d'origine pathologique. Le passeport permet de d'une photo, un test isolé, à une approche cinématographique, avec plusieurs photos du même athlète, ce qui nous permet de en relation les données avec une approche beaucoup plus dynamique [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] du phénomène.
Sur un ensemble de points et en particulier au niveau scientifique, oui nous progressons. On place la [url=http://comunidad.deportesevilla.tv/profile.php?user=hcx5maxr2s&v=comments]Les nouveaux défis du baccalauréat[/url] barre relativement haut, c'est dans notre nature, mais si des progrès sont indéniables, la t?che reste relativement vaste.
Concrètement, comment s'organise cette collaboration avec l'industrie pharmaceutique ?
Ces désaccords sont-il liés à des questions de méthode, sur la forme, ou à [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] des divergences sur [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] le fond ?
"LA FRANCE EST PARFOIS PLUS CONSERVATRICE"