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en 2010, puis partiellement révélés par cinq partenaires (dont Le Monde), sont désormais accessibles sur Internet en version intégrale - [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] sur WikiLeaks, mais aussi sur le [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] site suédois Pirate Bay, dédié au téléchargement de musique et de films, ou encore sur le site [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] américain Cryptome, spécialisé dans la divulgation de documents confidentiels.
Aux , le gouvernement a [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] vivement réagi après découvert un c?ble datant de juillet 2009, qui dresse un portrait très peu flatteur de l'ex-présidente Cory Aquino. Outré, le ministre des philippin a accusé l'ambassadrice américaine, signataire du document, "d' misérablement échoué à les Philippins à défendre leur démocratie". Les dommages collatéraux ne font que .
La fuite initiale pourrait d'une copie que des militants proches de WikiLeaks ont mise en ligne en la mélangeant [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] avec des archives déjà publiées, peut-être par erreur, ou pour d'une "assurance", en cas d'incident.
Déjà, dans le monde entier, des équipes [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de journalistes, de militants et de fonctionnaires se sont lancées dans un vaste travail de recherche et d'analyse, et font de nouvelles révélations. Une ONG a ainsi découvert un c?ble rédigé en janvier 2010 par l'ambassade américaine en C?te d'Ivoire, affirmant que des casques bleus auraient imposé des relations sexuelles à des femmes réfugiées, en échange de nourriture. L'Opération des Nations unies en a aussit?t exprimé [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi%3Fmode%3Dview%26no%3D1118664%26res%3D1%26page%3D400]barbour Anelka atterrit à la [/url] ses "regrets les plus profonds", tout en se déchargeant du problème sur les [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] pays d'origine des soldats.
Parallèlement, il contacte le département d'Etat, à Washington, mais les discussions ne débouchent sur aucun accord. Un porte-parole de l'administration américaine se contente de déclarer : "WikiLeaks a de nouveau ignoré nos demandes de ne ni de ne aucun document."
Mis devant le fait accompli, les cinq journaux partenaires de WikiLeaks, le Guardian, le New York Times, le Spiegel, El Pais et Le Monde, ont publié le [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] 2 septembre un communiqué commun : "Nous déplorons la décision de WikiLeaks de les télégrammes du département d'Etat non expurgés, susceptible de certaines sources en danger. Il avait [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] été clairement entendu avec WikiLeaks que seuls les télégrammes qui auraient été [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]woolrich parka Jean-Pierre Be[/url] soumis à un processus commun visant à les sélectionner et [url=http://www.clubao.com.br/home/view/post:701822]barbour sale Your Professional Logo Design[/url] à en les sources vulnérables seraient publiés. Cette collaboration a pris fin le 23 décembre 2010. Nous continuerons à défendre cette [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] entreprise de publication menée en commun jusqu'à cette date. [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] Nous ne pouvons pas défendre la publication des données complètes, qui n'était pas nécessaire. Nous la condamnons solidairement. La décision de la totalité de ces télégrammes appartient à Julian Assange et à lui seul. Il en est [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] seul responsable."
Jusqu'alors, WikiLeaks et ses partenaires successifs avaient publié environ 20 000 c?bles, après supprimé les noms des personnes jugées vulnérables - par exemple les informateurs des ambassades américaines dans des pays de dictature, qui auraient risqué de des représailles.
Dans un premier temps, Julian Assange, le patron de WikiLeaks, a nié toute responsabilité dans cette diffusion sauvage, et s'est posé en victime de ses ex-partenaires, ou d'un ancien collaborateur. Puis, pour ne pas être mis complètement hors jeu, il décide à son tour de les c?bles inédits, peu ou pas expurgés.
Des associations de des droits de l'homme ont également condamné l'initiative de WikiLeaks, après constaté la présence dans les documents de dizaines de noms d'informateurs que les diplomates américains avaient classés dans la catégorie "à protéger strictement".