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Le mélange acide pourrait les fondations de plusieurs b?timents [url=http://www.i3baby.com/myhome/space.php?uid=344&do=blog&id=330973]giuseppe zanotti pas cher La gauche, cest Don Qui[/url] situés dans le -ville de Johannesburg. "C'est possible, mais le risque est faible, nuance Anthony Turton, un spécialiste de la gestion de l'eau. Le principal problème est une contamination des rivières environnantes." Les habitants de Johannesburg consomment de l'eau provenant essentiellement du Lesotho, petit pays voisin, mais la préservation de la qualité de l'eau risque d' la facture des ménages.
Sous Johannesburg, l'eau, actuellement à 500 mètres de profondeur, monterait chaque jour, selon les experts, de 50 centimètres à 1 mètre. Ils estiment que, à du premier semestre 2012, 60 millions de litres d'eau toxique, l'équivalent d'une trentaine de piscines olympiques, pourraient de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] terre chaque jour si le plan du gouvernement n'était pas réellement mis en action. L'eau ferait son apparition en banlieue, dans la ville de Boksburg. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] A proximité du musée de l'Apartheid, le parc d'attractions de Gold Reef City de Johannesburg, dans lequel les touristes peuvent s' à 200 mètres sous terre pour [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] une mine d'or, serait alors le premier touché.
Les racines des roseaux qui bordent le lac sont , de la couleur du fer qui s'y est déposé. L'eau est trouble. Cela fait des années que les animaux du parc protégé de Krugersdorp, à l'ouest de Johannesburg, ne viennent plus ici. Le cocktail est toxique, composé d'acide sulfurique, de métaux lourds et d'éléments radioactifs. [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] Deux hippopotames sont en train de aveugles, selon des spécialistes.
"L'arsenic endommage le système nerveux, le mercure nuit au développement du foetus, etc. ; imaginez l'effet du cocktail du drainage acide minier sur l'organisme d'une personne qui y sera exposée de manière chronique !", alerte le docteur Jo Barnes, épidémiologiste à l'université de Stellenbosch. Les experts évoquent aussi des risques de cancers, de problèmes rénaux, pour des sujets aux maigres ressources, souvent déjà vulnérables à des maladies comme le ou la tuberculose. Les dég?ts sur [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] l'écosystème ne devraient également pas être connus avant plusieurs années.
Va-t-elle fin ? Le mardi 22 février, le gouvernement [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] a en effet annoncé qu'il allait des mesures pour le niveau de décantation et l'eau toxique. "Il ne faut pas paniquer", a répété Trevor Manuel, le président de la Commission nationale du plan, qui s'est engagé à ce qu'une pompe soit installée en mars 2012 pour le niveau de l'eau polluée à plus de 200 mètres de la surface.
Dès 1996, les autorités sud-africaines avaient été alertées qu'à l'ouest de Johannesburg, là où se situe le parc de Krugersdorp, la décantation allait débuter au début des années 2000. Mais aucune mesure n'avait été prise jusqu'à maintenant. Absence de prise de conscience de la gravité du problème ? Carences techniques ? Manque de moyens financiers ? Plusieurs raisons sont avancées pour cette longue incurie.
Le gouvernement sud-africain a assuré qu'il discutait avec les compagnies minières à propos du financement de ces mesures. Tous les co?ts liés à l'exploitation de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] mines ouvertes [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] depuis 1956 sont censés être à la charge des extractrices. Mais la plupart d'entre elles ont depuis longtemps quitté l' du Sud. "Ces multinationales ont gagné beaucoup d'argent en exploitant les richesses du pays, constate amèrement Mariette Liefferink, et, aujourd'hui, ils nous ont laissé la facture et cette pollution qui va encore des victimes pendant des décennies."
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D'ici un an, si rien n'était fait, les quatre millions d'habitants de Johannesburg, la capitale économique de l', pourraient de leurs propres yeux l'écoulement dans leur ville de cette eau toxique, le drainage minier acide, et ainsi le prix de ce qui a fait [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi?mode=view&no=1106322&res=1&page=430]hollister france Libye le d[/url] la richesse d'"Egoli", "la cité de l'or". Pendant près de 120 ans, les compagnies minières ont exploité le sous-sol de la région pour en le métal précieux. Mais à la fin des années 1990, les dernières mines ont fermé, et les pompes servant à au sec les galeries creusées ont petit à petit cessé de . Dans un sous-sol transformé en vaste gruyère, l'eau des pluies a réapparu, puis s'est retrouvée au contact de l'acide sulfurique présent le long des parois, résultant de l'oxydation de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] la pyrite (un sulfure de fer).
"Il ne faut pas paniquer"
Les personnes menacées en priorité sont les [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] plus pauvres, celles qui vivent dans les townships en périphérie de la ville. L'eau courante n'est pas un service accessible à tous, et certains doivent se résigner à leurs légumes, voire parfois à de l'eau des ruisseaux coulant à proximité.
"A chaque fois que je viens, je suis écoeurée, je n'arrive pas à que [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] rien n'est fait", confie Mariette Liefferink, responsable de la Fédération de l'environnement durable (FSE). A quelques kilomètres de là, l'eau polluée a commencé à s' dans les grottes du "Berceau de l'humanité", où ont été découverts de nombreux fossiles d'hominidés. Le site est inscrit depuis 2000 sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco.