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LE COMBLE, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] C'EST QUE TOUS CES OUTRAGES donnent parfois des chefs-d'?uvre. Mais très rarement, et surtout pas lorsque, croyant sans doute hommage aux muses qu'il digère, le cinéma [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] se lance à "mettre en scène" des artistes ; Picasso dans le dernier Woody Allen, Marilyn Monroe dans le Simon Curtis, Truman Capote dans le Bennett Miller, sans de Dumas dans le film de Safy [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] Nebbou, car dans ce jeu de massacre auquel le cinéma se livre à l'égard des , c'est la littérature qui est la plus maltraitée. [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] L'écrivain y est toujours un être en souffrance, qui n'y arrive pas, mais qui finit par un livre, à succès, qui se retrouve en vitrine de la librairie devant laquelle passe par hasard la personne qui a inspiré le livre, et alors cette personne entre dans cette librairie où l'auteur [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] est justement en train de dédicacer son roman. ?a n'arrive que dans les films, heureusement, c'est tellement bête.
de notre film : Contre le . Et comme ?a, je suis devenu [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] une petite vedette, dans [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] le studio. J'étais copain avec Patrick Pen, qui avait à peu près mon ?ge et qui était l'amant de Fran?ois (Reichenbach), mais il sortait en même temps avec une fille qui travaillait au Cherry Lane, la bo?te de nuit de la rue des Ciseaux. Tous les trois n'arrêtaient pas de se après, de la place des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] Etats-Unis à la villa de Oinville, et de la rue des Ciseaux à la rue Beethoven, c'était une histoire d'amour. Et un jour, dans les couloirs d'Antégor a retenti la voix de la standardiste : "M. Reichenbach est demandé au téléphone par le vestiaire du Cherry Lane !" Je trouvais que c'était à ?a que devait le cinéma. Celui que je voulais .
Par la suite, à force de ne pas à des films, toutes les avances [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] sur recettes allant directement dans la poche de Beno?t Jacquot, je me [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] suis mis à détester ce prétendu septième art, et ?a continue. C'est pour du mal du cinéma que je me suis mis à [url=http://askanexpert.thejobcouncil.com/?p=26776]air jordan pas cher Those Who Seek, Find Finding And Preserving A Business Oppo[/url] écrire. Et chemin faisant, ?a m'a bien plu, la littérature : c'est l'art qui les contient tous, je me disais. Et aujourd'hui, alors que s'ouvre le 65e , je peux que si le cinéma est un art, c'est celui qui les dévore tous, les réduit, les dénature. A par la musique, qui n'est qu'un appui sentimental pour les personnages et les situations, une béquille, une chaise roulante pour des images vers une émotion qu'elles sont incapables de par elles-mêmes.
Dans son incommensurable orgueil, le cinéma veut se tel qu'il est, et invente pour cela le personnage du cinéaste. Mais Buster Keaton, dans Le Cameraman, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] le place sur des rails burlesques dont il n'arrivera [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] plus à . C'est en dehors de leurs films que les cinéastes accèdent au rang de personnages, la célébrité leur tenant lieu d'esprit et la chaise de corps. Il leur [url=http://www.hitch.vpeck.com/profile.php?uid=1]www.achbanker.com/home.php Table Protector For Gr[/url] reste à écrire leurs Mémoires, on va enfin ce qu'est un cinéaste. Las ! Le livre est le recueil de toutes leurs [url=http://www.youlogowear.ca/community/index.php?t=msg&goto=40034&S=a97a820e711f3c0d2a37caed4d774b4c#msg_40034]hollister outlet sale Les actionnaires du plus grand groupe de pub mondial se rebiffent[/url] petites combines, illusions visuelles et traficotages sonores, un grimoire dont on ne conna?t jamais l'auteur.
De l'art pictural, le cinéma ne retient que l'efficacité des chromos publicitaires, l'éclairage satisfaisant toutes les paresses de l'?il. Quant aux belles lettres dont on se sert encore pour écrire des , le cinéma en fait des dialogues qu'il visse comme des tire-fond aux traverses du grand chemin sur lequel le scénario doit , au mépris de l'histoire et de l'esthétique de l'auteur.